La chance dans les paris sportifs: conseils
Conseil N°1: réduire le facteur chance en s’informant
La chance est un paramètre « irrationnel ». Si elle a probablement un impact sur le résultats de vos paris sportifs, notre conseil est d’essayer de la minimiser en incluant un maximum de faits « rationnels » dans votre logique. Certes une équipe peut avoir de la réussite (=chance) un jour et gagner un match, mais cette réussite est ponctuelle. Sur le long terme, une équipe plus faible qu’une autre aura de moins bons résultats…
Nos conseils vont donc davantage vers la sécurité et l’information: jouer uniquement sur des sports que vous connaissez, ainsi que sur des cotes raisonnables (celles > 10.00 = très risqué, beaucoup de chance à avoir…). Evidemment, avant chaque pari, il convient à vous de prendre en compte toutes les informations disponibles sur les équipes (état de forme, blessure, statistiques…) qui vous permettrons de faire un choix le plus réaliste possible.
Le hasard du jeu…
Il arrive parfois que la « chance » (ou « hasard ») joue un rôle important dans le résultat d’une rencontre: un favori se blesse pendant un match de tennis, une équipe de football archi-favorite écope de plusieurs cartons rouges, un arbitre moyen…
Afin de réduire l’impact qu’un tel hasard peu avoir, ne misez jamais trop gros: notre conseil est toujours de jouer maximum 5% (voire 10% grand grand maximum) de votre budget sur un pari. Ainsi, si une telle (mal)chance se produit, vous ne perdrez pas tout.
Jouez également des cotes raisonnables, aussi bien pas trop hautes que pas trop faibles: les cotes faibles ne vous ferons pas gagner beaucoup, mais le risque de déconvenue est lui, toujours bien présent. Ainsi, jouez plutôt les cotes entre 1.50 et 3.00, cela donne les rendements les plus intéressants.
Si vous souhaitez avoir davantage de conseils sur les paris sportifs, rendez-vous sur notre rubrique dédiée aux stratégies et conseils en paris sportifs. Enfin, inutile de préciser qu’il faut s’inscrire sur un site de pari en ligne reconnu par l’ARJEL.
